Nous avons vu pour vous ! Klondike le film diffusé sur Discovery Channel, vu par plus de 3 millions de téléspectateurs. Il s’agit plus exactement d’une mini-série américaine en 6 épisodes produite par le non moins célèbre et talentueux Ridley Scott à qui l’on doit Alien, Gladiator, Hannibal, etc.
« Klondike » le film n’est à louper sous aucuns prétextes. Les fans de Richard Madden (Game of Thrones) seront ravi du casting.
L’histoire retrace la vie de deux meilleurs amis d’enfance, à la fin des années 1890 pour atteindre leur rêve de fortune en se lançant vers la capitale de la ruée vers l’or dans le Territoire du Yukon sauvage. Cette épique aventure vraie sous forme de « conte », nous fait revivre l’épopée de l’homme contre la nature et met nos héros dans un pays plein de richesses à découvrir, mais ravagé par des conditions difficiles : la météo imprévisible, un parcours désespéré, une ville risquée avec des hommes au caractère dangereux avides de convoitise, des femmes de « petite vertu », et des tribus indiennes témoins de la destruction de leur peuple et de leur terre.
Comme beaucoup d’autres migrants, ils franchissent aux côtés de milliers de candidats à la fortune la Chilkoot Pass aussi fameuse que meurtrière, tuant hommes, femmes mais aussi mules, chiens … et découvre la nouvelle ville de Dawson.
L’or du Klondike, en Amérique du Nord, fut exploité 50 ans après la grande ruée de Californie : les terres du Yukon et de l’Alaska subissent l’assaut de centaines de milliers d’émigrants lancés sur les pistes de l’or. Les conditions sont épouvantables, les migrants innombrables, les placers mythiques, les récits nombreux et épiques : tout ceci a contribué à faire du « Klondike », une fantastique ruée vers l’or et aussi de faire découvrir un auteur de talent : Jack London (Histoire du pays de l’or, l’Appel de la forêt) qui vivant à Oakland (Californie) s’était aussi embarqué le 25 juillet 1897 pour ces nouveaux territoires.
N’en disons pas plus, à vos écrans…
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Chercher de l’or en Laponie
Bonjour à tous,
Je m’appelle Adrien Fardeau. Cela fait presque 4 ans que j’ai quitté la France pour venir habiter en Finlande, attiré par les grands espaces. Je vis dorénavant en Laponie où je travaille comme guide touristique.
J’ai créé cette année ma compagnie de tourisme Lapland Nature Évasion qui propose des voyages printemps/été en Scandinavie.
Située au nord de la Scandinavie, la Laponie s’étend de la Norvège à la Pénisule de Kola russe, en passant par le nord de la Suède et de la Finlande.
Elle nous évoque des paysages sauvages de taïga s’étendant à perte de vue, les hivers gelés, les troupeaux de rennes, (le Père Noël éventuellement…).
Mais pour ceux qui s’intéressent au métal jaune, la Laponie c’est aussi les ruées vers l’or, plus précisément les ruées vers l’or de Laponie finlandaise.
Le souvenir de découverte d’or persistait dans la région depuis le XVIème siècle mais l’histoire commença vraiment en 1866 avec la découverte d’une pépite d’or par un géologue norvégien dans la rivière Tenojoki.
La poste de l’époque faisant ce qu’elle pouvait, il se passa quelques mois avant que la nouvelle n’arrive à Helsinki. L’or soulevant toujours l’enthousiasme, le gouvernement envoya alors un groupe de géologues prospecter en Laponie pour vérifier l’information.
Après que les résultats positifs de l’expédition furent tombés, les ruées commencèrent.
Il s’agit en fait d’une série de ruées car au fil des ans on découvrait de nouveaux secteurs aurifères qui faisaient revenir les chercheurs d’or qui étaient déjà repartis après avoir épuisés les secteurs précédents.
Les ruées vers l’or laponnes ne sont pas comparables à celles d’Australie ou de Californie par exemple. Néanmoins pour un pays pauvre comme l’était alors la Finlande, c’était une aubaine grandement suffisante pour que plusieurs centaines de personnes quittent chaque année femme, enfants, ferme ou travail forestier pour tenter leur chance au nord.
À l’instar de l’Alaska, on cherche l’or en Laponie pendant les quelques mois d’été car l’hiver le sol est gelé et les conditions rudes : au coeur de l’hiver les températures tombent généralement autour de -30 degrés. Difficile alors de trouver de l’or quand l’eau gèle instantanément dans la batée!
148 années après la découverte de tellef Dahl, on cherche encore de l’or en Laponie finlandaise.
Avec des moyens modernes d’abord : on trouve par exemple la mine souterraine de Kittilä, exploitée par une compagnie canadienne employant 500 personnes. Elle fonctionne toute l’année et produit 5 tonnes d’or par an.
À l’est près de la Russie se trouvent ensuite tous les petits prospecteurs d’or : des passionnés qui passent leurs étés sur un petit domaine parfois loin de la civilisation, seuls ou en famille.
J’ai eu la chance de faire connaissance avec l’un de ces chercheurs d’or alors que je randonnais à Lemmenjoki.
Pour l’été 2015 nous vous proposons une semaine de randonnée et de recherche d’or dans le parc national, le dernier secteur a avoir connu une ruée après 1945.
Pour atteindre le domaine d’Aki, le chercheur d’or qui nous accueillera donc 4 jours, il faudra prendre un bateau qui nous fera remonter la rivière Lemmenjoki puis marcher toute la journée avec nos sacs à dos.
Une fois sur place vous pourrez apprendre le béaba du chercheur d’or.
Rechercher de l’or en Laponie n’est pas une mince affaire : la terre est caillouteuse et pour arriver jusqu’au bedrock où se trouvent les placers, il faudra manier la pelle et la pioche. Les chercheurs d’or travaillent tous avec des rampes de lavage, c’est uniquement à la toute fin que l’on utilisera la batée pour récupérer l’or (que l’on se partagera).
Ce voyage est tout à fait envisageable pour des débutants souhaitant s’initier sur plusieurs jours et aussi pour tous ceux qui pratiquent déjà l’orpaillage et qui recherchent simplement une expérience nouvelle dans un cadre grandiose.
Si l’aventure vous tente, passez visiter mon site
Cordialement,
Adrien
Stage d’orpaillage, ou comment devenir chercheur d’or
Bonjour, mon prénom est Kevin et ce que je cherche avant tout ? Vous faire vivre l’expérience insolite d’apprendre à chercher et trouver de l’or naturel de vos propres mains !
Faisant parti d’une longue lignée de chercheurs d’or, dont je représente la plus jeune génération, j’ai toujours vécu avec ce virus ou bien cette fièvre de l’or. Mais la journée que vous partagerez à mes côtés est plus une histoire de passion et de convivialité autour du précieux métal jaune. Découvrez pourquoi !
Sachez que si l’or a toujours su faire rêver et déplacer des foules avec ses fameuses ruées, il est présent dans nos rivières françaises à la portée de tous. Il suffit d’apprendre une technique particulière de lavage des alluvions par le maniement de la batée pour en récolter, après quelques efforts, des paillettes d’or. Loisir avant tout, c’est aussi un moyen de vivre des moments intenses et découvrir la nature autrement. La recherche d’or débute par la lecture de la rivière, « savoir trouver le bon coin ». Vient ensuite ce moment si excitant où l’on remplit la batée de sables et de cailloux sans savoir au final ce que l’on va y trouver réellement. Puis installé les fesses dans l’eau, la batée entre les jambes, on prend le temps de laver les matériaux avec la technique d’orpaillage que je vous enseignerai. Au fur et à mesure, les sables noirs commencent à apparaître : indice que l’or n’est pas très loin. Il faut alors être délicat et affiner son mouvement pour découvrir vos premières paillettes d’or. C’est à ce moment là que votre cœur s’accélère et connait des palpitations particulières, car on ne sait jamais par avance, combien il y aura de paillettes d’or. Même si la technique d’orpaillage est assez répétitive, elle n’en est pas moins toujours magique ! Ce métal si précieux est la récompense ultime après chaque batée.
Au-delà d’une expérience unique, il s’agit d’une communion extraordinaire entre l’homme, la terre et l’eau.Envie de rêver, d’oublier le temps ? Alors pré-réservez dès à présent votre journée d’initiation.
Lieux : Gard (30)
Sur réservation uniquement (par téléphone ou email)
Tarif et renseignements sur
Site internet www.chercheur-or.com (rubrique stage)
Les plus grosses pépites d’or de France (Top 10)
Suite à notre article précédent au sujet de la plus grosse pépite de France (voir l’article), nous avons eu plusieurs retours d’orpailleurs ayant eu la même chance de faire la découverte d’une véritable pépite d’or.
Sans dévoiler le nom de ces prospecteurs heureux nous partageons tout de même quelques clichés de leur trouvailles classées par ordre de poids.
TOP 10 des plus grosses pépites d’or de France répertoriées
- Pépite d’or des Avols (Ardèche, 1889) – 543 g – « découverte à même le sol par un berger promenant son troupeau de bêtes »
- Pépite d’or Claude A. (Vallée française, 2012) – 218 g – « après un an de découverte de l’activité orpaillage, il déterre la plus grosse pépite d’or de ce millénaire »
- Pépite d’or Inconnu. (Maine-et-Loire, 2007) – 57,5 g – « le promeneur l’a ramassée, elle était couverte de terre et brillait sur une toute petite partie »
- Pépite d’or Pascal P. (Pyrénées, 2017) – 8,20 g – « sous 1,50 m d’alluvions très compactées et avec des blocs rocheux de près de 100 kg »
- Pépite d’or Christian U. (Var, 1982) – 5,48 g – « les prospecteurs de ce placer s’asseyaient souvent sur une grosse pierre pour orpailler avant de découvrir qu’elle était dessous »
- Pépites d’or Malo K. (Bretagne, 2018) – 5,35 g et 3 g – « dans un paléo-placer breton »
- Pépite d’or Jean-Pierre M. (Haute-Savoie, 1993) – 4,92 g – « la pépite d’or porte encore les traces du coup de pelle » (lire l’anecdote)
- Pépite d’or Olivier P. (Pyrénées, 2005) – 4,87 g – « coincée dans un escalier de schiste sous quelques centimètres d’alluvions d’un torrent asséché »
- Pépite d’or Christophe R. (Savoie, 2024) – 4,52 g – « coincée au fond d’une faille »
- Pépite d’or Marc B. (Bretagne, 2018) – 3,50 g – « dans un paléo-placer breton »
Nous avons oublié votre pépite Française dans ce classement ? Il suffit de nous envoyer une photo, date de découverte, poids et nous réactualiserons l'ordresources Chercheur d’or
Quand j’ai trouvé la Pépite d’or … (anecdote)
Cette journée heureuse où j’ai trouvé une pépite d’or
Nous avons demandé à Jean-Pierre M. (ci-dessous) de nous raconter les circonstances de cette découverte.
Le 31 mai 1993, j’organise une sortie orpaillage sur le Fier en Haute-Savoie avec mon association Rhon’or. Nous connaissons déjà tous très bien cette rivière à 1h30 de Lyon et elle ne nous a jamais déçus.
Après une matinée à gratouiller les alluvions de berge, tout le monde pique-nique en se racontant de bonnes histoires. Il fait chaud, l’eau est claire, à bonne température et la batée commence à me redémanger. Je décide alors d’explorer le bed-rock, immergé sous 50 cm d’eau et constitué de marne friable avec de grandes failles striées dans le sens du courant. J’entame donc sans grande conviction puisque nous n’avions jamais rien trouvé dans ces conditions, à la pelle, sans pompe manuelle à l’époque. Par contre j’adore faire la batée debout, le fil d’eau au niveau du ventre. Les cailloux glissent le long des jambes et les vairons viennent vous téter les mollets. Après quelques batées stériles, ma pelle à charbon se niche dans une petite marmite pas plus grande que le poing de la main. Je remonte alors un 1/3 de pelle pleine de glaise parsemée de plombs de chasse et quelques hématites. Étonnant car cette marmite était très visible et facilement accessible, surtout dans cette zone hyper orpaillée depuis des années.
Source « Chercheur d’or«Après 2-3 mouvements de batée, les plombs apparaissent,
et au 4ème tour… le soleil m’étincelle une belle couleur jaune d’environ 1cm2.
Bizarre… le doute me prend, je regarde discrètement à gauche, à droite car il était courant de se balancer discrètement des morceaux de brasures dans les batées. Mais ce jaune là, je le connais très bien. A ce moment précis, le palpitant commence à prendre des pulsations, je suis maintenant persuadé que c’est une pépite et commence à fabuler sur sa taille car il reste encore une épaisseur de 3 cm de sable noir et plombs à évacuer. J’imagine alors ne voir que la surface de l’iceberg… J’y mets les doigts de suite ou pas ? Ha que nenni ! préférant savourer ce moment si rare. Encore quelques vibrations, rien ne bouge, le lit de plombs empêche la bête de descendre. Je la saisis alors des doigts et suit soudain envahi par 2 sentiments : la joie et le bonheur de trouver enfin une pièce unique et la frustration par rapport à sa taille réelle (L : 16 mm, l : 13 mm, H : 3 mm). J’analyse rapidement qu’il s’agisse bien d’or naturel et non d’un morceau de bijou ou autre et c’est alors que j’explose d’un cri rageur ‘’Gooooold !’’ auprès des autres orpailleurs qui étaient à 10 m de là en train de ranger leurs sacs de bouffe. Revenant sur la berge, je la soupèse et l’estime à 6-8 gr, elle n’en fera au final que 4.92 gr, vidée et désossée. Tout le monde la contemple avidement et j’entends déjà les premiers sarcasmes et doutes de quelques-uns. Mais au fond de moi je jubile, c’est une trouvaille qui n’arrive qu’une fois dans sa vie et je profite de l’instant présent. Dans les heures suivantes, l’endroit fut ratissé jusqu’au soir sans aucun résultat. D’ailleurs le 1er coup de pelle dans cette mini marmite avait tout récolté, il ne restait même plus un grain de sable. A y réfléchir je pense avoir bénéficié d’un heureux concours de circonstances : temps estival, eau claire et chaude, taille pelle idéale, esprit décontracté et bien-être global. Le plaisir n’en a été que plus grand.
Cette belle journée de mai 1993 me restera gravée à jamais et j’ai encore bien en tête tous ces ressentis comme si c’était hier. Pour la petite histoire on s’était tous juré de ne pas dévoiler cette découverte pendant 3 mois… J’y suis retourné en Septembre pour y découvrir un vrai champ de mines et n’y ai plus rien reconnu… lamentable.Voilà maintenant 34 ans que j’orpaille pas mal de rivières et ruisseaux de France et je ne pense pas retrouver aussi gros, alors actuellement mon plaisir se dirige davantage vers la prospection que vers l’orpaillage proprement dit, en utilisant le web pour affiner : cartes géologiques, Google Map, GéoPortail, et autres. Chaque année je prospecte donc cette rivière par tronçons de 20 km depuis sa source et aujourd’hui je suis en mesure de localiser approximativement la source de cet or, affaire à suivre…
Sur la photo Verso (ci-dessous), on distingue des traces d’éraflures, je pense que c’est des marques de pelle.
La plus grosse pépite Métropolitaine de ce siècle
Une pépite d’or de 218g titrée à près de 24kt
C’est en Août 2012 qu’un membre d’une association d’orpailleurs du Val de Loire, Mr. Claude A. a découvert un joyau de notre sous-sol français . Officialisée en 2014 cela aurait-il l’effet de déclencher une nouvelle ruée vers l’or en France ? En tout cas, l’histoire ne nous dit pas, où la trouvaille fût faite, ni l’état d’étonnement de son heureux propriétaire, ni le temps passé à prospecter avant d’effectuer une telle découverte. Seule chose de sûr, il s’agit d’un chercheur d’or dans sa 1ère année d’orpaillage… A ce propos ne dit-on pas « avoir la chance du débutant » !
Pour rappel, jusqu’à aujourd’hui les plus incroyables pépites d’or métropolitaines (déclarées) sont (dans l’ordre des records), la Pépite d’or des Avols (1889) – 543 g et la Pépite d’or Claude A. (2012) – 218 g
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Chercheurs d’Or Alaska, émissions de télé-réalité
En 2010 la TV s’engouffre dans le filon incroyable de l’or avec des Télé-réalités d’orpailleurs en Alaska. On y suit des amis ou des familles déterminées à faire fortune en récoltant le maximum d’or sur une période d’activité restreinte.
Bon nombre d’entre nous ont suivi les émissions de National Geographic Channel (Les Chercheurs d’or – Yukon Gold) ou bien celles de Discovery Channel (Alaska, la Ruée vers l’or – Pêcheurs d’or sous la glace – De l’or sous la glace) qui relatent les faits quotidiens de familles d’orpailleurs industriels en Amérique du Nord. Plus précisément au plus profond de l’Alaska.
Chaque jour dans leurs propres exploitations minières, ces chercheurs d’or du XXIème siècle s’acharnent et luttent pour extraire le plus d’or possible avant l’arrivée de l’hiver qui annonce l’heure des glaces et du froid polaire. Là-bas la saison de prospection se passe sur quelques mois. Il y a de l’autre côté, les orpailleurs qui profitent de cette période glaciaire pour explorer les fonds alluvionnaires.
Même si les moyens d’exploitation sont souvent surdimensionnés ou bien construits artisanalement, il n’en reste pas moins que chacun des protagonistes réalise à quel point il est difficile de trouver ce métal précieux. En effet chaque épisode y va de son lot de revers humains, financiers et/ou mécaniques.
La ruée vers l’or ne s’apparente pas à un métier facile pour qui entreprend cette aventure. Toutefois on ne louperai pour rien au monde le prochain numéro….
Sources médiatiques « Discovery Channel » , « National Geographic Channel » ou bien Voir la Bande Annonce de « Yukon Gold : l’or à tout prix« , Les Chercheurs d’or« , « Pêcheurs d’or sous la glace »
Pépite d’or « Hand of Faith » en vidéo
La plus grosse pépite du monde
Incroyable découverte fût trouvée par un prospecteur australien en 1980. Enterrée à quelques 30 cm sous terre, une pépite d’or « natif » de 27 kg. Ses dimensions donnent le vertige, 47 cm de haut, 20 cm de largeur et 9 cm d’épaisseur. A l’époque de la trouvaille le trésor naturel est estimé à 1 Million de $ USD.
Aujourd’hui, il vous est possible d’observer ce joyau de la nature dans la vitrine du célèbre casino de Las Vegas (Nevada) : le Golden Nugget Las Vegas. Dénommée aujourd’hui la Main de la Foi ou « the Hand of Faith » la voici en image pour ceux qui n’ont pas le loisir de voyager.
Trouver de l’or dans le Gardon : le mode d’emploi
La 18ème Coupe d’Europe des Chercheurs d’or s’est déroulée dans le Gard. Un week-end difficile ou près de 11 grammes d’or ont été récolté par 57 orpailleurs passionnés puis partagés à la fin de la compétition. Il est important de dire que personnes n’est reparti riche. C’est une compétition où le plus malin et le sens de la prospection fait la différence. Gagnant ou perdant, peu importe, c’est le moment de l’année où les prospecteurs de divers horizons se retrouvent dans la joie et la bonne camaraderie.
Source « Midi Libre« , presse « France 3 Languedoc-Roussillon« , reportage télévisé « France3 Languedoc-Roussillon« , photos de « Claude Billard »